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Grâce à France Alzheimer, son équipe travaille à démontrer les effets bénéfiques d’un variant de la protéine NDP52 sur la dégénération et les altérations cognitives liées à la maladie d’Alzheimer. Ce variant étant présent naturellement chez l’homme, il constitue un candidat à fort potentiel pour développer de nouveaux médicaments capables de freiner l’évolution de la maladie et de protéger la qualité de vie des patients.
Grâce à France Alzheimer, son équipe étudie le rôle de la sérotonine dans les dégénérescence fronto-temporales (DFT), maladies apparentées à Alzheimer qui altèrent particulièrement le langage, le comportement et la capacité de mouvement. Ses travaux ont pour but d’évaluer l’intérêt thérapeutique des traitements à visée sérotoninergique sur ces troubles afin de proposer des solutions ciblées à ces patients qui ont généralement moins de 60 ans et peuvent être atteints dès l’âge de 30 ans.
Grâce à France Alzheimer, son équipe cherche le moyen de protéger, voire de restaurer les fonctions cognitives des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, et tout particulièrement leur mémoire. Pour cela, elle étudie la capacité de dégradation des agrégats de protéine Tau responsables de lésions caractéristiques de la maladie par des cellules non neuronales du cerveau : les astrocytes. Et si l’effet bénéfique est avéré, ce projet pourra mener au développement d’une classe de médicaments totalement nouvelle.