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Le défi des chercheurs :
trouver la combinaison de molécules qui vaincra la maladie d’Alzheimer

Les chercheurs sont unanimes : les traitements de demain devront associer des molécules agissant sur au moins 3 lésions cérébrales impliquées dans la maladie d’Alzheimer.

Le défi des chercheurs

3. Une inflammation du
cerveau liée à la réponse
immunitaires aux
pathologies amyloïde
et Tau

2. Le dysfonctionnement
de la protéine Tau qui
entraîne la formation de
filaments détruisant
les neurones

1. L’accumulation anormale
de peptides amyloïdes qui
conduit à la formation de
plaques étouffant les neurones
et leurs prolongements

Et l’espoir est là !

Plus de 100 molécules sont aujourd’hui en phase d’essai à travers le monde, et plusieurs d’entre elles montrent une efficacité sur la pathologie amyloïde.

« Jamais l’espoir d’un traitement n’a été si grand.
Mais il faut aller encore plus loin et chercher dans toutes les directions, car la maladie d’Alzheimer est comme une forteresse qu’il faut attaquer par tous les côtés jusqu’à ce qu’une porte finisse par céder.
C’est ce que font actuellement 45 équipes de recherche soutenues par France Alzheimer et maladies apparentées.

Et elles ont besoin de vous ! »

Kevin Rabiant,
responsable de la recherche
chez France Alzheimer

Déjà 45 équipes de recherche mobilisées pour lutter contre la maladie d’Alzheimer, et parmi elles :

L’équipe de
Claire Meissirel

a conçu un nouvel outil moléculaire pour lutter contre l’accumulation pathologique de peptides amyloïdes.
Son objectif aujourd’hui : associer cet outil innovant à des nanovecteurs pour l’acheminer jusqu’au cerveau et étudier l’impact de ce traitement chronique sur le développement de la pathologie amyloïde.

Institut NeuroMyogène,
Lyon

L’équipe de
Luc Buée

a identifié 11 molécules susceptibles de nettoyer les agrégats de Tau dans le cerveau.
Et contrairement à d’autres molécules déjà étudiées, ces 11 nouvelles candidates permettraient de bloquer cette pathologie sans augmenter la production de peptides amyloïdes toxiques. Tout l’enjeu est maintenant de déterminer si l’une de ces molécules peut s’avérer efficace.

Laboratoire Alzheimer
et Tauopathies, Lille

L’équipe de Guillaume Dorothée

cherche à développer des anticorps pour empêcher  l’inflammation cérébrale.
Le but : proposer un nouveau type de vaccin pour bloquer les cellules immunitaires néfastes qui réagissent contre les agrégats de protéines amyloïdes et Tau et, au contraire, favoriser les cellules immunitaires inhibitrices spécifiques.

Centre de recherche
Saint-Antoine, Paris

Et dès 2025 : ce sont plus de 12 nouveaux projets qui seront financés, avec vous !

Pour toutes les personnes malades, pour leurs proches,
pour nous tous qui pouvons être touchés demain,

soutenez la recherche avec France Alzheimer !

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de la recherche sur les maladies d’Alzheimer et apparentées en France

Plus de 470
projets financés
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d’engagement auprès des chercheurs

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d’euros
consacrés à la recherche depuis 2010

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Le Dr Carine Kambon donne l’espoir de protéger la mémoire !

Grâce à France Alzheimer, son équipe cherche le moyen de protéger, voire de restaurer les fonctions cognitives des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer, et tout particulièrement leur mémoire. Pour cela, elle étudie la capacité de dégradation des agrégats de protéine Tau responsables de lésions caractéristiques de la maladie par des cellules non neuronales du cerveau : les astrocytes. Et si l’effet bénéfique est avéré, ce projet pourra mener au développement d’une classe de médicaments totalement nouvelle.

Laboratoire des maladies neurodégénératives, Fontenay-aux-Roses

Le Dr Maïté Formaglio donne l’espoir d’un traitement inédit !

Grâce à France Alzheimer, son équipe étudie le rôle de la sérotonine dans les dégénérescence fronto-temporales (DFT), maladies apparentées à Alzheimer qui altèrent particulièrement le langage, le comportement et la capacité de mouvement. Ses travaux ont pour but d’évaluer l’intérêt thérapeutique des traitements à visée sérotoninergique sur ces troubles  afin de proposer des solutions ciblées à ces patients qui ont généralement moins de 60 ans et peuvent être atteints dès l’âge de 30 ans.

Centre de recherche en neurosciences de Lyon

Le Dr Flavie Strappazzon donne l’espoir de ralentir la progression de la maladie !

Grâce à France Alzheimer, son équipe travaille à démontrer les effets  bénéfiques d’un variant de la protéine NDP52 sur la dégénération et  les altérations cognitives liées à la maladie d’Alzheimer. Ce variant étant  présent naturellement chez l’homme, il constitue un candidat à fort  potentiel pour développer de nouveaux médicaments capables de freiner  l’évolution de la maladie et de protéger la qualité de vie des patients.

Institut NeuroMyoGène, Lyon